Le samedi 24 novembre 2018 a eu lieu, à Berne, un atelier d'une journée pour les personnes intéressées par le volontariat en Colombie, au Guatemala, au Honduras ou au Mexique, en tant qu'observateur des droits humains auprès de PBI. Des témoignages d'anciens volontaires, mais, également, de volontaires actuels, ainsi que divers exercices et jeux ont permis aux participants d'approfondir leurs connaissances sur les différents projets et méthodes de travail de PBI. Deux stagiaires qui étaient présentes ce jour-là décrivent leurs impressions.
Federica Busco:
«Das Training war sehr informativ und interessant. Obwohl ich bereits seit vier Monaten bei PBI als Praktikantin arbeite, habe ich viel Neues und Konkretes über die verschiedenen Projekte gelernt. Die gute Mischung aus «Theorie», Erfahrungsberichte und praktischen Übungen machten den Tag sehr abwechslungs– und lehrreich. Ausserdem entstand durch die Diskussionen und Übungen eine gute Gruppendynamik, die über den ganzen Tag hinweg für eine angenehme Stimmung sorgte.
Besonders spannend waren die Skype Calls mit Jessica García, die zurzeit in Guatemala einen Einsatz leistet und mit Sophie Helle, die im Team in Bogotá stationiert ist. Es gab mir einen persönlichen und direkten Einblick in die Arbeit der Freiwilligen und was es bedeutet, MenschenrechtsverteidigerInnen in ihrer Arbeit zu begleiten.»
Marine Payot:
«Stagiaire à PBI depuis seulement un mois, cette journée d’atelier représentait une bonne introduction au travail effectué par l’organisation. En effet, j’ai pu consolider mes connaissances sur le fonctionnement global de celle-ci et en apprendre davantage sur les expériences concrètes des volontaires dans les pays de projets de PBI en Amérique Latine. L’excellente dynamique de groupe et les expériences de chacun(e) des participants ont rendu les diverses activités intéressantes et instructives. Finalement, les skype effectués avec deux volontaires de PBI actuellement en Colombie et au Guatemala m’ont permis de mieux comprendre la réalité du terrain et toute l’utilité d’un accompagnement protecteur pour les défenseurs et défenseuses des droits humains dans ces pays.»