À l'occasion de la Journée internationale contre l'impunité pour les crimes contre les journalistes célébrée le 2 novembre, PBI Honduras publie trois vidéos dans lesquelles la journaliste Dina Meza parle de l'impunité, de la désinformation et de la valeur de la parole.

Depuis 2001, au moins 92 journalistes ont été assassiné·e·s au Honduras. Plus de 90% de ces crimes restent impunis. Les assassinats constituent la forme la plus extrême de la censure des médias, mais les journalistes sont également confronté·e·s à d'innombrables autres dangers, comme des enlèvements, de la torture et d'autres agressions physiques ou de harcèlement, notamment dans la sphère numérique. Les menaces et les attaques contre les journalistes créent un climat de peur et entravent la libre circulation de l'information, des opinions et des idées pour tous les citoyens et citoyennes.

Qui sont responsables de l'impunité dont jouissent les auteurs de crimes contre les journalistes? Quels sont la portées et le pouvoir des mots pour provoquer un véritable changement? Quel est l'impact de la désinformation et comment la combattre? Regardez les trois courtes vidéos de Dina Meza (en espagnol avec des sous-titres en anglais):