Claudia Marti était volontaire pour PBI en Colombie de 2001 à 2002 puis est devenue coordinatrice de PBI Suisse: «Ce qui m'a le plus marquée c'est le courage des défenseurs∙euses et leur volonté de tout donner pour les droits humains et la paix dans le pays.»
Le 29 mai, PBI Suisse a organisé une journée de formation pour les personnes intéressées par une mission PBI à l'étranger. Voici un retour sur la journée.
La suisso-britannique Anuja Pathak travaille pour PBI au Guatemala depuis mars 2021. Grâce à la diversité des tâches et à la cohabitation avec ses coéquipiers, chaque jour est différent.
PBI accompagne des représentant·e·s de CSPP, CIJP et NOMADESC dans leur travail de surveillance des manifestations pacifiques et d'enquête sur les violations des droits humains. Découvrez une sélection des photos compilées par PBI Canada.
Le rapport annuel 2020 que nous venons de publier se focalise sur la pandémie de Covid-19 et son impact sur le travail de PBI en Suisse et à l'étranger.
En novembre dernier, le Honduras a passé son troisième examen périodique universel au Conseil des droits de l'homme. Parmi les avancées les plus saluées figure la création du Mécanisme national de protection en 2015. Toutefois, il reste encore beaucoup à faire.
En ce 17 mai, nous célébrons la journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie en mettant à l'honneur le combat que livre la communauté LGBTIQ+ contre les actes d'exclusion et de discrimination au Honduras.
Depuis le 28 avril, dans toute la Colombie des personnes manifestent contre le gouvernement dans le cadre de la grève nationale, et sont violemment réprimées par les forces de sécurité de l’État. PBI est extrêmement préoccupée par l’usage excessif de la force par la police et l’armée.
Au Guatemala, la défense des droits humains comporte de nombreuses difficultés. Carlos Sajmoló Pichiyá revient sur son travail au sein de l’AVCCP et explique comment l’omniprésence de la corruption empêche de poursuivre les auteurs d’agressions et autres actes d'intimidation.
Valérie Elsig était volontaire au Guatemala (2008-09) et au Honduras (2014-15): «C’est un privilège de côtoyer ces personnes et de pouvoir les accompagner un bout de chemin, de participer à une vraie chaîne de solidarité. Au retour, cette énergie reste vivante, même des années après.»